En manque d'inspiration.

Fly était debout depuis une bonne heure a contempler la ville du haut de l'appartement qu'il partage avec ses amis. C'était sa première vrai journée à New-York et il devait se décider a écrire.

Après tout c'est pour sa que je suis venu ici.... pour écrire. Mais écrire quoi?

L'inspiration lui manquait, il voulait écrire quelque chose de grand, de colossal mais pour le moment rien. Il se tourna vers son ordinateur portable qui semblait l'appeler. Fly résistait car il avait peur de cette éternelle page Word vierge et de son esprit perdu dans un redoutable trou noir. Il pris son courage a demain et se décida à s'installer, il comtempla la barre clignoter, n'attendant que lui pour se mettre a composer mais voilà il ne savait pas quoi faire.

Ca valait la peine de se lever aux aurores pour sa. J'ai composé deux livres dont un qui va surement ètre porter a l'écran et là je sèche. Aller on se reprend, on se sort les d.... du c...... et aller.

Au bout d'une heure rien ne venait. Il ne s'apercu pas que sa meilleure amie venait de se glisser dérrière lui.

"Tu n'as pas commencer?"

Il sursauta et se retourna, il l'apercu belle comme toujours.

"C'est pas vraiment sa.. C'est juste que je ne sais pas quoi commencer..."

"Je te fais confiance tu y arriveras. Je dois me préparer pour mes cours."

Plus facil a dire qu'a faire....

Steven s'apprétait a partir pour la faculté quand il sarréta pour regarder Fly en transe devant son ordinateur...

"Tu as pensé a créer un blog en attendant de trouver la vraie inspiration. Tu pourrais raconter ton séjour en Afrique ou un truc dans le genre."

"Je rève ou tu as parler de blog là? Tu sais je suis pas fan de c'est truc sur internet j'aime le contact d'un vrai livre. Mais je vais y penser."

"C'est toi qui voit. Moi je dis sa je dis rien...."

"On te laisse la maison, on doit aller en cours... A plus tard."

Fly se retrouva seul avec ses pensées et son ordinateur. Il conclu rapidement qu'une balade dans New-York lui ferait le plus grand bien et que son livre attendra bien un jour de plus.

"Bon je te laisse."Dit il a son odinateur.
"Essaie de pas faire de bétises sans moi."

Il sortit au grand air dans cette ville qui ne dort jamais. Il se sentit un peu dépassé par l'animation un peu veine qui régnait ici après son séjour en Afrique. Mais bon gré malgré il se dirigea vers sa nouvelle banque attitré ou ses fonds étaient à présent transféré.

Bon guettons le moindre petit geste de mes idoles en collant sa serait bien le diable si je ne voie pas Nova ou un autre survoler New-York. près tout il n'ya que sa ici.

Il pénétra dans la banque et se posta au bout d'une queue et patienta le temps que vienne son tour. Au moins on est pas dépaysé... c'est aussi long et efficace qu'en FRance.

Vingts minutes, vingts cinq minutes... Et au bout d'une demi heure, une bande de malfrats armés pénétra dans la banque l'un deux tirra en l'air en intimant aux gens de se mettre a terre et de ne pas bouger. Le chef de cette bande s'avéra ètre:

"Hè c'est le constrictor un vilain de seconde zone. Meme troisième zone vu son quota d'échec...."

Bien joué crétin tu as dit sa tout fort pour qu'on t'entende mème en Arizona. J'aime bien ce moment de silence entre la connerie évoquée a haute voix et les conséquences...C'est comme qi tout s'arrétait.

Une beigne magistral du sus nommé envoya Fly a terre et carrément étourdie.

"Le vilain de seconde zone t'as donné un ordre je crois. Et t'avise pas de m'insulter a nouveau ou tu vas rester a terre pour de bon."

"On ne peut plus d'accord dit Fly en se relevant.mais est ce que je peux vous posez une question? Je suis étranger, et je ne saisies pas l'intéret que vous ou vos amis avez comme intéret a ètre malhonnète ou a maltraiter les gens. Après tout le mal ne paies pas et puis a New york vous avez des héros a tout les mettre carrés. C'est ridicul."

[Nan mais tu vas te taire andouille!!!!!

La réponse du constrictor fu simple. Il étala Fly pour le compte d'un coup d'une de ses lianes en adamantium. Il se retourna et rejoignit ses complices qui s'occupat du coffre. Fly revenait peu a peu a ses esprits et maudit sa grande gueule.

Bon et bien il n'y a plus qu'a attendre que sa se finisse. Je te dis pas le temps que sa va prendre....

Il ne fallu pas bien longtemps a un super héros pour arriver a la banque comme celà semblait si naturel dans cette ville. En effte spider-man fracassa une fenètre pour entrer lanssant au passage une remarque sarcastique a ses adversaires. Un jeune homme a coté de Fly se leva pour encourager son héros.

"Wouhou vas y tisseur!!!!!"

"Couche toi boulet!!!

Fly le tira par la manche pour le remettre au sol. En effet les balles de révolvèrent fusèrent dans tout les sens essayant de toucher l'homme araigné.

Il intima aux personnes proche de lui de s'orienter vers la sortie. Les gens réalisèrent a ses mots qu'il courait un danger et une partie des otages se dirigèrent alors en rampant vers la sortie. Fly tenta d'atteindre les autres otages a l'autre bout de la pièce pour les faire sortir de leur rèves et les amener vers la sortie.
Il était a quelques centimètres d'une mère et sa fille quand spider man propulsé par le constrictot s'écrasa contre une colonne. Cette dernière se disloqua et des morceaux de béton tombaient en direction de la petire fille.

"Attention!!!!"

Il poussa la petite fille évitant de justesse les dangereux débris. Le resre des otages réalisa alors qu'il valait meiux ne pas rester ici. Ils sedirigèrent tous vers la sortie ou la police pris le reste des choses en main. Fly était bien content que les choses se soient passés aussi bien. La mère s'approcha de lui pour le remercier.

"Merci jeune homme vous avez sauvé ma fille...."

"J'ai juste agi comme n'importe qui... Croyez moi le vgrai héros c'est Spider man, sans lui on serait surement mort a l'heure qu'il est."

"Peut ètre mais vous avez eu une bonne réaction en ordonnant aux gens de sortir. La plupart semblait térrifiés ou hypnotisés par le combat."

"Il me semblait plus intéressant de sortir d'ici que de risquer quoi que ce soit mais je pense que les gens de cette ville sont tellement habitués a voir se genre de chose qu'il ne se sente plus vraiment en danger."

Elle le remercia encore puis spider man repartit apr la vois des airs laissant sur les lieux un paquet de toile ou le constrictor et sa bande était prisonnier. Fly contempla le spectacle et se mit a réfléchir. Il était soulagé d'etre en vie et heureurs d'avoir pu voir un des ses héros à l'oeuvre.

Je n'ai peut ètre pas l'idée de mon roman encore. Mais je crois que j'ai quelque chose a raconter dans un blog..... Et qui sait peut ètre arriverais je a trouver l'illumination divine.

Il pris la direction de son appartement avant que la police ne décide de garder toutes les victimes présentes pour leur demander un rapport complet sur ce qui c'était passer ici.

Une fois n'est pas coutume, en vêtement tout ce qu'il y a de plus civil et ordinaire, l'ancien héros charismatique Adrian Veidt se présenta à la porte de l'appartement coloué par un trio de français. Incognito, il portait un simple pullover par-dessus un pantalon de toile, des chaussures de ville All-Star, ainsi qu'une casquette de base-ball. Après avoir frappé à la porte, il demanda en haussant la voix :

"Taggart? Suis-je bien à la porte de M. Taggart?"

Sa récente sortie dans les rues de New York bien que divertissante ne l'avait toujours pas permis d'écrire une ligne pour son futur roman qui commençait à ressembler sérieusement à la Sibérie profonde... blanc et vide.

"Allez allez.... Un petit effort."

Bien que d'habitude très bavard à l'écrit comme à l'oral rien ne venait. Il fut soudain dérangé dans ses pensées par le son strident de la sonnette.

"Je n'y arriverai jamais."

Il se dirigea vers la porte, l'ouvrit et fit face a un homme de forte stature.

Mon dieu je n'ai pas de dettes et pourtant voilà qu'on m'envoie un videur de casino.

L'homme lui demanda s'il était bien chez Fly Taggart.

Euh techniquement oui mais je ne vis pas seul ici. Que peut un écrivain sans inspiration pour votre service?

Quelque chose dans les propos de Fly avait déplu à Adrian. Il semblait qu'il était venu pour rien, il aurait du être plus sélectif, choisir plus intelligemment. Pourtant, il avait lu un de ses bouquins entre le fromage et le Champagne, et rien ne présageait de cela! Inutile d'attendre d'en avoir le cœur net, il avait beaucoup de personnes à voir et peu de temps pour le faire discrètement.

"Je... J'ai dû me tromper. Au revoir, monsieur."

Je sais bien que je suis pas le plus grand des esprits vivants mais tout de mème.... Ce type est étrange.

Excusez moi, mais vous avez sonner ici en cherchant Fly taggart hors il se trouve que c'est bien ma "demeure" alors ou vous cherchez un autre Fly taggart ou vous ne savez pas très bien ce que vous cherchez.....

Fly ne croyait pas aux coincidences et il doutait sérieusement que cet homme cherchait quelqu'un d'autre que lui mème allez savoir pourquoi.

Il semblerait que nous ne soyons pas parti du bon pied. Vous ètes?

"Laissez tomber, j'ai à faire mon jeune ami."

Sur ce il tourna les talons avec une élégance insoupçonnée et fila vers l'ascenseur au petit trot. Il appuya sur le bouton du rez-de-chaussée. Se tournant dos à la porte, il contempla à loisir son reflet le temps que les portes ne se ferment. Dans ces habits qui ne lui ressemblaient pas, il avait du mal à se reconnaître lui-même.

Le jeune homme n'avait pas besoin de grand chose pour voir sa nature curieuse se réveillé au triple galop mais la visite d'un homme a la stature de Conan le barbare qui le cherchait avant de subitement le quitter pour un prétexte falacieux avait tendance à piquer a vif sa curiosité.
Il décida tout naturellement de suivre cet homme.

"On se dépèche... On réunit un minimum et on suit le gaillard."

Il pris son portefeuille sa veste et ces lunettes de soleil et s'engagea dans l'escalier de l'immeuble afin d'atteindre le rez de chaussé avant son mystérieux visiteur.

Dommage que Carole ne soit pas là, elle aurait adoré....

Une foi arrivé en bas il emboita le pas a l'homme à l'imposante carure.

Arrivé au rez-de chaussée, Adrian, toujours revêtu de son déguisement d'américain - qu'il est, certes, de naissance, mais d'un héritage culturel tellement plus riche et ancien - court vers le trottoir, dépasse un kiosque à revues et s'en va héler un taxi jaune. Celui-ci s'arrête, et devant la couleur de son argent, l'accueille chaleureusement pour le conduire quelques rues plus loin, vers un autre immeuble d'habitations.
Encore plus miteux que le précédent, on peut y compter plusieurs fenêtres condamnées. Curieux, en plein New York. Néanmoins il en faut plus pour déstabiliser l'ancien Ozymandias, qui entre d'un pas sûr et solide.

Il ferme les yeux pour se rappeler de la personne qu'il vient visiter. Il ne comptait pas arriver aussi tôt, mais de toutes façons il avait décidé de rencontrer ses cibles à l'improviste. Quelque peu troublé du choix qu'il ne comprenait pas lui-même, d'avoir rencontré Fly alors qu'il était un homme sans grande inspiration. La décision par écrans multiples était pourtant sans failles, quelque chose n'allait pas. Il était bien allé le voir pour une raison, et peut-être n'aurait-il pas dû s'arrêter à la première impression.

Nom de dieu!!! Mon royaume pour une voiture!!! Ca marche que dans les films mais on peut essayer!!

Il appela un taxi qui s'arréta aussitot:
Suivez ce taxi!!!

Cette histoire devient de plus en plus cliché mais ca ne manque pas de piquant.

Le taxi suivit celui du colosse jusqu'a un batiment en ruine en plein New York. Fly sortit du véhicule paya le chauffeur et resta quelques secondes devant l'immeuble en réfléchissant.

Hmmm La prudence me suggère de ne pas entrer par la porte principal.On ne sait jamais sur quoi je vais tomber.

Il décida de rentrer par une petite fenètre qu'il dut fracturer bien entendu. Il s'engouffra ensuite dans les méandres du batiment.

Pour Adrian comme pour Fly, la première chose qu'ils virent en s'introduisant dans le rez-de chaussée de l'immeuble délabré furent les cafards. Beaucoup de cafards, s'agglomérant dans les coins de murs, dans les lézardes des portes en bois pourri, des centaines de milliers d'insectes grouillant à travers le bâtiment.

Ni l'un ni l'autre ne s'attendaient à cette vision repoussante. Quand l'occupant entendit des bruits à sa porte d'entrée, il grogna, lâchant ses outils avec précipitation. Mais c'est le bris de vitre qui remporta la palme pour attirer son attention. Alors que Fly regardait fixement les milliers de bestioles qui assiégeaient la place, l'habitant moustachu se planta devant lui, la moustache tremblante de rage.

Spoiler:

"Que me voulez-vous une fois? Fichez-moi le camp d'ici, je ne sais pas supporter votre intrusion!"

L'artiste moustachu avait un fort accent européen. Dans une main il tenait une feuille de papier froissé, dans l'autre, un pinceau trempé de peinture à l'eau. D'un œil mauvais, il jaugea les proportions de son invité surprise.

Mis a part la réaction de dégout provoqués par la vue de centaines de cafards jonchant le sol de la batisse, Fly ne pu s'empécher de penser a Indiana Jones.

"On dirait des gateaux secs....C'est bien jolie mais que diable allais je faire dans cette galère?"

Il n'eu pas le temps de réfléchir d'avantage à la question quand un homme curieux à la moustache broussalleuse vint a sa rencontre l'air peu amical.
L'écrivain se demandait bien qu'elle excuse im allait trouver.

Euh en fait je ne voulais pas venir ici. Je suivais juste quelqu'un et il se trouve que ce quelqu'un est entré ici. Ceci dit je n'avais nullement l'intention de vous déranger.

La bâtisse était vraiment sinistre, rien de semblable à la beauté d'une pyramide, songea Veidt. Les bestioles qui jonchaient les lieux le firent frissonner un instant, et il se demanda s'il y avait bien quelqu'un dans ce noir taudis pour finir.

"Monsieur van Vile?"

Adrian criait, les mains en cornet, en prenant garde de ne pas marcher sur les insectes grouillants. Il pénétra dans l'appartement proche, qui semblait vaguement occupé.

Le moustachu, présumément van Vile, se gonflait d'orgueil et de juste colère. Un œil fermé, l'autre injecté de sang filant de Fly à sa feuille de papier, il traça de larges bandes de peinture en criant :

"Mais vous m'avez dérangé une fois!"

Rouge de concentration, l'homme fit alors surgir de sa feuille, une gigantesque forme vaguement humaine. Il jeta le papier au-devant de lui, sur lequel était reconnaissable le même monstre aux proportions brouillonnes.

"Mes amis, débarrassez-nous de l'intrus!"

Sa création jeta vivement en avant ce qui lui tenait lieu de bras, et Fly put réaliser au contact que le golem était en fait constitué d'une multitude de ces mêmes cafards qui grouillaient dans tout l'appartement.
Spoiler:
Les insectes, constitués en une main qui le souleva au-dessus du sol, étaient sans cesse en mouvement, rampant sous les aisselles, sur le ventre, sur tout le corps de Fly.
Percevant effectivement la présence d'Adrian Veidt, la créature s'avança lourdement vers la porte d'entrée sous le regard sévère de son créateur.

Le jeune écrivain ne comprenait décidément pas grand chose a ce qui se passait et lorsque créature constitué de cafard l"empoigna pour le soulever il regretta amérement d'avoir quitter son appartement.

Je sens bien que le situatrion nous échappe.. pensa t'il en référence a un de ses détournements préférés.

Malgré le dégout que lui faisait la multitude de cafard grouillant il se arvisa, et tenta de se libérer en frappant la créature comme il avit apprisa le faire par le passer.

Tas de morve dégueulasse tu vas me lacher oui!!!

Il doutait de l'éfficacité de ses coups quand la créature se tourna vers un autre arrivant.

En voyant la bête constituée de multiples organismes rampants, Veidt eut un sursaut. En voyant Taggart pendu en l'air par une masse d'insectes faisant partie du tout, il ne sut s'il devait être rassuré ou angoissé. Dans le doute, il appela de nouveau :

"Van Vile? Wilhelm van Vile?"

Cependant la créature ne le laissa pas en savoir plus pour le moment. D'un ample mouvement en avant, elle le fit disparaître au sein même de sa structure. C'était exactement comme si le monstre l'avait avalé. Son visage, sa bouche, les replis de ses vêtements étaient envahis par les terrifiants cafards.

"Mmmhaggart! Sortez-nous de là, bonmmhhh!"

Fly ne comprenait plus rien, et l'homme qu'il avit pris en filature ne sembalit pas mieux gérer la situation. Il tenta encore une foi de ce dégager de l'étreinte du monstre , mais abandonna devant l'inutilité de sa tentative.

A quoi bon.... Quel triste sort que le mien, mourir étouffer par une montagne de cafards.

Il poussa néenmoins un ultime rale de protestation.

Mais que diable allais je faire dans cette galère? Monde de me.....

Du côté de l'artiste, Wilhem van Vile, quelque chose semblait clocher. Il regardait sa création avec l'oeil qui jauge et mesure, et finalement, déchira son morceau de papier. La créature disparut en un clin d'oeil, tandis qu'il piétinait la feuille déchirée avec son talon.

"Cela ne sait pas aller, une fois! Cette asymétrie a été affreuse."

Tandis qu'il s'impatientait à propos de sa maîtrise du dessin, les deux prisonniers des insectes, libérés de l'emprise, tombèrent durement au sol. Van Vile était vraiment contrarié. Il maugréa:

"Bon, que me voulez-vous?"

Il partait du principe que les deux étaient venus ensemble, ce qui n'était pas entièrement faux. Aussi son regard ne se fixait sur aucun en particulier, comme s'il essayait de saisir l'atmosphère même de la scène.

Tout vait disparu soudainement, la créature de deux mètres couvertes de cafards. Et les cafards eux mèmes. L'écrivain retomba lourdement sur le sol, abasourdi par ce qu'il venait de se passer. Il se coucha sur le dos comme las parce qu'il venait de se passer. Le curieux personnage qui les avait agréssé les questionna vertement.

Personellement, je suivais juste l'autre gars que vous avez agréssé. Ce monsieur a sonné chez moi pour me rencontrer avant de détaler aussi sec. Je voulais juste savoir ce qu'il voulait et subitement je tombe sur un fan des beatles qui dessine dans un immeuble en vrac.

Fly se revela et épouseta ses vétements, il regarda les deux autres hommes présents et continua sa tirade:

Ceci dit j'ai l'air de dérangé et comme je n'ai aucun lien ni avec vous la montagne de muscle ni avec vous l'enthomologiste je pense que je vais vous quitter.

Je suis presque sur que je ne vais pas quitter cette endroit aussi facilement.

Adrian chut au sol avec une violence à laquelle il ne s'attendait pas. Les cafards qui formaient une espèce de golem s'étaient dématérialisés. Cependant, avec une grimace de dégoût il constata que les autres, ceux qui avaient été visibles dès son entrée, n'avaient pas quitté la pièce et continuaient de grouiller.
Avec un semblant de dignité, l'éphèbe accoutré en livreur s'épousseta, éloignant les bestioles de sa personne avec force. L'artiste aux pouvoirs étranges avait demandé des comptes concernant ce charivari, et Adrian écouta la version de Taggart. Ce gredin sans valeur le faisait passer pour un fou, alors que c'était son intrusion qui avait causé l'attaque de la part du peintre.
Veidt crut bon de rétorquer d'un ton péremptoire :

"Trop tard, Taggart. Vous ne quittez pas les lieux. Mon projet est assez secret, et vous êtes trop entré dans cette histoire pour que je me passe de vos services. Malgré le fait que vous soyez un écrivain sans veine."

Il s'avança vers l'artiste peintre et lui serra la main en se présentant.

"Je suis un mécène, et je recherche des gens comme vous pour accomplir quelque chose d'extraordinaire. Un projet pharaonique qui ne saurait se passer de vos talents et de vos... capacités particulières. Je vois que j'ai bien fait de vous choisir, M. van Vile."

Aux dires de l'homme que Fly aurait mieux fait de ne pas suivre, il semblait faire parti d'un plan qui le dépassait totalement. Il ne comprenait pas bien en quoi son talent pouvait bien servir a un réscapé de la mythologie grec au physique digne des statues d'antan. Se retournan il dévisagea l'homme a la chevelure d'or.

Attendez une minute... Vous débarquez chez moi pour me dire que vous me cherchez puis vous changez d'avis pour venir voir un peintre a moitié fou (il se tourna vers l'homme au cafard) sauf votre respect pour subitement me dire que vous avez besoin de moi?

Il craignait que son gout pour l'aventure et le monde des super héros ne l'entraine dans des problèmes incroyables.

Je peux savoir au moins pourquoi vous avez besoin de moi?

Adrian était surpris par l'arrogance du soi-disant écrivain. Il avait le culot de croire qu'Adrian avait encore besoin de lui. Il ne comprenait donc pas que Veidt n'avait d'autre moyen, à part l'éliminer physiquement. S'il continuait dans cette voie, il faudrait songer cependant à un moyen de l'écarter de l'affaire sans qu'il ne reporte le moindre détail. Il en avait déjà trop vu, car Adrian savait que des personnes perspicaces existaient au sein des super-héros et que son simple témoignage leur en apprendrait beaucoup.

"Je n'ai que faire de votre ego et de votre compréhension, Taggart. Votre seule présence ici m'oblige à vous prendre dans mon équipe. Normalement, je ne devrais prendre que les meilleurs. J'ai dû me tromper sur votre compte. Mais puisque vous m'avez suivi, nous n'avons d'autre choix."

Un réplique d'un duo de comique francais lui vint à l'esprit. "Y m'cherche".
Cette homme aussi mystérieux soit il avit bien l'intention de le prendre de haut et Fly n'allait pas se laisser faire.

Ecouter je crois qu'on est pas parti du bon pied... Premièrement vous ètes qui? Et puis au fait vous ètes un gentil ou un vilain histoire que je sache si je dois commencer a chercher la sortie.

J'aurais pu me renseigner sur ce sujet avant de foncer tète baisser dans les ennuis.

Quoi qu'il en soit v'était trop tard a présent. Il était coincé dans un appart en ruine avec un peintre fou amateur de cafard et une gravure de mode au visage de Buck danny.

Bien qu'elle soient plutôt inadéquates dans la situation, les questions de Fly rencontraient une certaine compréhension chez Adrian Veidt, qui décida qu'il était temps de dévoiler cette partie du mystère. Le Peintre, qui ne devait pas avoir la télévision, ne paraissait pas le reconnaître lui non plus. Il s'assit dans un fauteuil défoncé, le seul de la pièce. Sa main était étrangement figée.

"Dans ma jeunesse j'ai combattu le crime sous le nom d'Ozymandias. Croyez bien que je n'ai rien à voir avec des vigilantes urbains comme le Punisher ou ces héros violents d'aujourd'hui. D'ailleurs je me suis retiré de cette activité pour me concentrer sur mes entreprises et la politique. Je me nomme Adrian Veidt."

Ses vêtements préservaient son anonymat, et cependant déjà il se permettait d'être davantage lui-même. Pourquoi se cacher d'eux, après tout, ils étaient des artistes. La discrétion était fondamentale dans ce projet et ils seraient seuls parmi moins d'une centaine de personnes à être au courant.

"Vous avez dit avoir besoin de moi pour un projet d'envergure, n'est-ce pas?"

"Tout à fait, mais en tant que producteur je requiers un silence complet quant à ce qui concerne cette grosse production."